Une tasse de thé ?

Aprés un incendit qui avait ravagé plus de moitier de la Terre, Maya avait bien changé physiquement. Elle était devenue bien maigriçonne à cause du manque de nourriture qui ravager le monde. Ses cheveux avaient poussés,malgrés le soin qu'elle leurs apportent, elle avait difficulté d'apporté la clairetée qu'ils avaient avant. Ses yeux avaient un regard différent, il n'y avait plus cette petite flamme de joie et de gentillesse.Mais plutôt la crainte et la souffrance.

Sue avait disparut, des personnes qu'elle connaissait sont mortent... Le monde entier avait changé... La vie n'était plus ce quelle était. Seth et Maya était restés un long moment seul au centre. Le quotidien était devenu ennuyeux, triste. Quand elle n'était pas au centre, Maya restait clouatré dans son appartement, sur son divant regardant sa porte où son amie avait disparut, engloutit par les ténebres. Seth avait beau la consolée, elle était toujours dépréssif. 12 ans de sa vie aux côtés de Sue, elle est partie fraire ses études, elle en est revenue, et Sue disparut.

La vie n'était plus comme avant, les oiseaux ne chantaient plus, elle qui passé des heures à les écoutaient. La haine était devenue que présente... Une larme... Deux larmes... Un fleuve d'eau qui ce fond encore sur les joues creusent de Maya. Son mascara coulait en même temps que ses larmes critalinent. Elle était debout devant la fênetre, essaillant de ce calmé, et enfouire sa tristesse elle.

Le temps de l'incendie semblait bien derrière l'école. Pourtant, aucun des membres survivants n'avaient l'air d'être guéri. Pour cause, on en gardait tous des cicatrices bien douloureuses en nous, Seth dans les premiers. Le Centre avait été un réel carnage pour tous le monde. D'ailleurs, on déplorait de nombreuses pertes, ce qui était affolant en conséquence. Un nouveau air régnait à présent sur Nakyo, celle de la putride mort qui s'échappait chaque jour un peu plus de ce monde. Pourquoi? L'utopie n'était que l'irréalité, les gens se révoltaient et tentaient tous de survivre comme ils le pouvaient et cela impliquait parfois de tuer pour se nourrir. Les quartiers les plus pauvres, jadis, n'étaient déjà pas tranquilles. A présent, il était impossible d'y survivre sans se montrer être dans les plus aptes à s'adapter et faire partie des bandes les plus obscures pour ne plus se laisser marcher dessus et se faire ratatiner comme une vieille crêpe.

Il y avait tant de choses de changés, Seth s'en rendait compte un peu plus chaque seconde qui passait. L'école n'abritait plus grande monde mais était réouverte à présent, malgré tout. Ce fut un léger soupire qui s'échappa de la bouche de notre homme à ses pensées divagantes. Les yeux remplis d'amertume, mais le visage clos et impassible, sa stature n'avait de cesse de se montrer plus ferme qu'auparavant. Oui, Seth à présent venait de fêter son vingt-septième anniversaire il y a trois jours. Vous parlez d'une fête? Non, il n'en donna aucune et refusait d'aborder se sujet. Après tout, personne ne savait sa date de naissance, même lui. Il l'estimait, ce qui était complexe à dire.

Seth marchait alors dans les couloirs, flânant à ses occupations nulles et, soudain, se retourna. Il crut entendre la voix de Sue, sa tendre amie. Mais une fois de plus, cela n'était que l'illusion d'un passé inexprimable et triste. Ses yeux se baissèrent et il reprit sa marche funeste dans les grands escaliers noircis par les flammes. Même si il travaillait à rendre l'endroit plus beau, il y avait un grand prestige qui eut disparu dans le feu. Personne d'ailleurs n'expliquait la cause de cette horreur. Beaucoup pensaient à un mutant. Seth était réputé être dans les plus puissants, cependant ce n'était pas lui même si certains l'accusaient de part la nature inconnue de ses pouvoirs incompréhensifs.

Quelques pas plus tard, il passa devant le bureau de son amie d'enfance qu'il adorait et protégeait plus qu'avant ces derniers jours, Maya. La jeune femme semblait avoir grandi mais aussi dépérit, comme si son innocence avait totalement été brûlée. La perte des gens proches lui faisait énormément de mal et cela se lisait dans son regard de pluie chaque jour. Seth hésita à entrer alors, car il paraissait si impassible que Maya pouvait le comparer à un être sans sentiment. C'est ce qu'elle avait hurlé, il y a presque une année, lorsque Sue eut disparu, dans son appartement. Depuis, il en avait gardé encore la mémoire attristée. Ce n'était que pour se protéger.

Seth alors frappa à la porte. Il n'entrait plus dans le bureau de Maya sans avoir son autorisation, par respect. Quelque chose le retenait à chaque fois. Il imaginait que cela soit l'aura de tristesse de Maya qu'il ressentait à cause de sa vision des auras prononcée, mais rien n'était sûr. Il ignorait encore la nature de ce qui le poussait à l'admirer et la craindre à la fois. Alors, le visage ferme et les yeux toujours ténébreux, car il n'avait guère changé depuis le temps sauf qu'il était plus robuste et encore plus calme qu'avant, il attendit derrière la porte bien sagement.

[Désolé, il n'y avait plus de courant dans toute ma ville ^^"]

La fênetre, qui permetté au soleil, de faire profiter de sa douce chaleure a la pièce ainsi que la lumière, Maya, jeune femme âgé de vingt-six ans aprésent, regardait avec attention les détails des allentours du chateau plutôt lugubre. Elle voyait peu de chose, bien que les seuls arbres qui restaient étés devenu piqué et maigre, mais les larmes qui l'avait envahit l'empécher de bien déterminé les formes. Son regard fini ce long parcourt sur le sol, froid et sans vie. Ses petits yeux finirent eux par ce fermer. Oublier.... Elle aimerait oublié un moment de sa vie. Celui du départ de Sue, ou évité d'avoir vu ses élèves entrain de ce faire marché par les flammes. Ses pouvoirs étaient impuissant face a la rage de la nature. Dans son moment d'intimité, des pas venaient dérangé le deséspoire et la tristesse de la jeune femme.

Les bruits de fond, qui étaient des pas, finirent leur courses devant sa porte. Aucun doute, Seth. Il n'y avait que lui de toute façon. Silencieuse, essuyant ses larmes, elle se retourna un peu vers la porte, pour qu'il l'aperçoive de profil. Ses bras fins et blancs, rejoignaient les épaules auposé a leur sens, comme si elle avait froid, ou qu'elle voulait ce protéger de quelque chose ou quelqu'un. Son état empiré de jour en jour... Sa détresse était ilminante. Un bruit sourd fini la course dans ses oreilles, quelqu'un venait de toqué a la porte. Cachant les larmes qui venaient de s'éfondrées sur son visage, pour laissé place a un visage pale, plutôt clair, mais peu acceuillant. Ses yeux fixaient la porte. Avant tout ce qui venait de ce passé, Seth aurait eu le droit a un sublime sourire, une chose qui était son charme absolut.

"Entrez..."

Un ton plutôt sensible mais ferme venait brisait le silence qui s'était établit entre le tapement sur la porte jusqu'a sa voix. Personne ne bougea, personne ne parle...C'était plutôt troublant.De ses talonts éguilles, la jeune femme ce dirigea vers la porte qui la séparait de son admirateur secret, a cette pensée, un peu idiote, elle émit un petit ricanement gentil. Maya avait toujours une allure spéciale, comme les princesses du temps de Louis XV, mais beaucoup plus "vulgaire". Elle attrapa la poignet, et fini par regardait dans le couloir, ou surement son fiède protecteur y était. Tout juste. Seth était debout devant la porte le regard sur le sol. Pour lui paraître plus acceuillante, elle lui déposa un petite bisou sur la joue avant de lui donné un petit sourire de bienvenue.

Maya était devenue asser troublante... Elle pouvait ressemblé a une poupée vodoue, puis ensuite se transformée en une jolie petite poupée de porceline. Elle avait beau essayé de cachet ses sentiments mais elle savait très bien que Seth avait trouvé quelle n'était pas au meilleure de sa forme. Même avait les éfforts. La co-directrice, enfin la nouvelle co-directrice du Centre, était penché sur la porte regardant le charmant Seth, un petit regard doux mais qui restait un peu froid du aux larmes.

"Qu'attend tu pour rentré mon cher Seth ? "

Lui lança t-elle. Laissant la porte ouverte, Maya réaterie devant la fenêtre de son bureau.